Riporto un altro brano dal Processo di condanna, seduta pubblica del 1 marzo 1431:
"Interrogée si dans leurs cheveux, avec les couronnes, point d'anneaux d'or, ou autres, répondit :" Je ne le sais"
Interrogée si elle même n'avait pas quelques anneaux répondit à nous, évêque :
- Vous, vous en avez un de moi ; rendez-le moi !
Item dit que les Bourguignons ont un autre anneau : Et nous requit, si nous avions ledit anneau, que nous le montrassions.
Interrogée qui lui donna l'anneau qu'ont les Bourguignons répondit que c'était son père, ou sa mère. Et lui semble qu'il y avait écrit les noms JHESUS MARIA ; ne sait qui les fit écrire ; et n'y avait pas de pierre, à ce qu'il lui semble ; et l'anneau lui fut donné à Domrémy. Item dit que son frère lui donna un anneau autre que celui que nous avions et qu'elle nous chargeait de donner à l'église. Item dit que jamais ne guérit aucune personne par le moyen desdits anneaux."
Gli anelli erano dunque due.
Le erano stati requisiti durante la prigionia ed erano in possesso dei Borgognoni.
Altri brani tratto dal sito:
"On lui demanda plus tard si elle avait eu des bagues. Il résulte de ses réponses que, jusqu'au jour où elle fut prise, elle en portait deux. L'une, sur laquelle étaient gravés les noms Jésus Maria, lui avait été donnée par ses parents, à Domrémy, l'autre, dont elle ne fournit aucune description, était un cadeau d'un de ses frères. Les Bourguignons lui avaient pris la première, à Compiègne, et l'évêque de Beauvais s'était approprié la seconde, lors de son incarcération au château de Rouen".
" Interroguee si les bonnes femmes touchoyent point leurs aneaux a l'anel qu'elle portoit, respond :
- Mainctes femmes ont touché a ses mains et ses aneaulx. Mais ne sçait point leur couraige et intention". (Seduta del 3 marzo 1431).
"Jeanne d'Arc par Henri Wallon - 5° éd. 1879
Appendice II-16 : Les anneaux de Jeanne d'Arc
Le soupçon de magie qu'avait et que voulait fortifier le juge à l'égard de Jeanne d'Arc se trahit encore par la façon dont il y revint plus tard (17 mars) :
Interroguée de l'un de ces agneaux où il estoit escript JESHUS MARIA de quelle manière il estoit, respond : elle ne sçait proprement ; et s'il est d'or il n'est pas de fin or, et si ne sçait se c'estoit or ou lecton ; et pense qu'il y avoit trois croix et non autre signe qu'elle saiche, excepté JESHUS MARIA.
Interroguée pour quoy c'estoit qu'elle regardoit voulentiers cel anel, quant elle aloit en fait de guerre, respond que par plaisance et par l'onneur de son père et de sa mère ; et elle ayant son anel en sa main et en son doy a touché à saincte Katherine qui lui appareist.
Et interroguée en quelle partie de la dicte saincte Katherine, respond : « Vous n'en aurés autre chose. »
(Procès, t. I, p. 185.)".
E ancora:
www.stejeannedarc.net/histoire_wallon/appendiceII-16.phpLa bellissima lettera dei fratelli Guy e André de Laval, citati nel link qui sopra, si può leggere qui:
www.stejeannedarc.net/lettres/lettre_laval.php